© Musée du Louvre, dist. GrandPalaisRmn / Martine Beck-Coppola
Ecole anciens Pays-Bas
Jeune femme dans un paysage, jouant d'un orgue portatifVers 1420
INVENTAIRES ET CATALOGUES :Cabinet des dessins
Fonds des dessins et miniatures
INV 20676, Recto
Anciens numéros d'inventaire :
NIII22767
MA12584Numéros de catalogue :
Primitifs des Pays-Bas P2
LOCALISATION :Petit Format (S)
ATTRIBUTION ACTUELLE :MAITRE DES ANCIENS PAYS-BAS XVè s
ANCIENNES ATTRIBUTIONS : ANONYME FLAMAND XVè s
PROPOSITIONS D'ATTRIBUTIONS : MAITRE DES ANCIENS PAYS-BAS première moitié du XVè s
Starcky, Emmanuel, 1977
MAITRE DES ANCIENS PAYS-BAS première moitié du XVè s
Duclaux, Lise, 1990
MAITRE DES ANCIENS PAYS-BAS début du XVè s
ANONYME FLAMAND début du XVè s
ANONYME FRANCAIS XVè s
TECHNIQUES :Plume et encre brune.
H. 00,170m ; L. 00,179m
HISTORIQUE :E. Jabach (L. 2959) ; dessin dit du 'Rebut' - Entré dans le Cabinet du Roi en 1671.
Dernière provenance : Jabach, Everhard
Mode d'acquisition : cabinet du roi
Année d'acquisition : 1671
INVENTAIRE DU MUSEE NAPOLEON :Inventaire du Musée Napoléon. Dessins. Vol.9, p.1690, chap. : Ecoles diverses, 2ème boîte. (...) Numéro : 12584.Inconnus. Numéro d'ordre dans l'oeuvre du maître : 1er à 1097 compris [[petit trait oblique / au crayon]]. Désignation des sujets : Dans la boite de bois n° 2, sont renfermés onze paquets de dessins dont la très majeure partie
n'est partie trois mots barrés à l'encre n'est point collée ; ils sont faits de différentes manières. Chacun des dix premiers paquets en contient cent, et le onzième quatre vingt dix sept ; en tout 1097, y compris les contr'épreuves et les moindres croquis. Origine : Idem [[ Collection ancienne /&. Emplacement actuel : Idem & Calcographie du Musée Napoléon ]]. Signe de recollement : [Vu] [[au crayon]]
[Vu] signe de récolement barré de plusieurs traits au crayon [[au crayon]] [[trait oblique / au crayon / sous le n° d'ordre]]. Annotations marginales sur l'inventaire : [ [[Nouveau n°]] 2] [[à l'encre / dans la marge / à gauche du n° d'ordre]]. Cote : 1DD41
COMMENTAIRE :La précision du costume et le collier de l'ordre des Antonins font écarter l'hypothèse d'une allégorie de la musique. K. L. Belkin (in 'Corpus Rubenianum, Ludwig Burchard, part XXIV, The costume book', Londres et Philadelphie, 1980, p. 79) suggère d'y reconnaître Jacqueline de Bavière (1401-1436), fille de Guillaume VI et de Marguerite de Bourgogne. On connaît ses traits mais l'identification reste incertaine. (E. Starcky dans cat. d'exp. 'Le paysage en Europe du XVIe au XVIIIe siècle', Paris, musée du Louvre, 18 janvier-23 avril 1990, n° 1) Si ce dessin est bien un portrait de Jacqueline de Bavière en musicienne, la raison de sa création intrigue. Nous ne connaissons aucune autre effigie isolée de ce type. Cependant, le chien, symbole de fidélité, et l'environnement boisé pourraient renvoyer au thème amoureux du jardin d'amour tel que le représente la tapisserie de 'l'Offrande du coeur' conservée au musée du Louvre. (H. Grollemund in cat. d'exp. 'Un Allemand à la cour de Louis XIV. De Dürer à Van Dyck, la collection nordique d'Everhard Jabach', Paris, musée du Louvre, 2013, n° 16).
INDEX :Collections : Jabach, Everhard - Cabinet du Roi
Lieux : Paris, Musée du Louvre, oeuvre en rapport
Personnes : Jacqueline de Bavière
Sujets : instrument musical, orgue - musicienne
Techniques : encre brune à la plume - pierre noire - pierre noire estompée
REFERENCE DE L'INVENTAIRE MANUSCRIT :vol. 8, p. 401